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Par Tetora le 27 Février 2015 à 16:33
Enfiiiiiiin un "vrai" article faisant plus de 3 lignes ! *Q*
*Musique de harpe*
j'ai pas eu assez de fric pour me payer un ange ! C'EST LA CRISE !
Voici donc une creepypasta sur Animal Crossing ! Profitez bien !
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Vous avez déjà joué à Animal Crossing ?
Si un jeu peut définir mon enfance, c'est celui-là, C'était Animal Crossing. C'était comme avoir une vie alternative et idyllique. La plupart des gens y jouent 15 minutes par jour, sauf cas exceptionnels, comme participer à un festival ou refaire la flore du village. Moi j'y passais des heures et des heures : J'avais une opération pousse de fruits lucrative qui m'occupait comme un dingue.
Ma ville s'appelait Town (J'étais un gars de 10 ans très original) et les fruits natifs étaient les pommes. le sud entier de mon village, de la mer jusqu'au poste de police et aux falaises, étaient des forêts de fruits...et d'arbres à fric. J'ai même eu le jeu avec la carte mémoire spéciale.
J'adorais Animal Crossing, mais des fois, les jeux disparaissent, comme les amis en vrai, et j'imagine que c'est ce qui s'est passé.
Animal Crossing et la Gamecube ont pris la poussière, Et quand on a eu la Wii, la Gamecube a disparue.
ça ne m'a rapporté que 12$, et ça m'a aidé un poil. Animal Crossing ne valait pas mieux, genre 6$, et j'aurais souhaité ne jamais l'avoir échangé, pour raisons sentimentales, mais aussi pour ma santé mentale. Mais, la 360 a pris la place de la Wii, et ce fut au tour de la Wii de prendre la poussière aux côtés de mes jeux Game Boy Colors et Game Boy Advance.
Aujourd'hui, j'avais décidé de dépoussiérer ma Wii pour jouer un peu à Starfox Adventures. Je garde habituellement ce jeu dans un carton rempli d'autres jeux, câbles, manettes et cartes mémoires, Mais je ne le trouvai pas. J'ai regardé pendant au moins 15 minutes, creusant vers Tony Hawk et Grand Theft Auto et Pokémon - J'allais laisser tomber pour jouer à la 360 quand je trouvai quelque chose au fond du carton.
C'était une boite sans étiquette que je n'avais jamais remarquée, mais en l'ouvrant...
Je vis Animal Crossing, et dans le petit espace en bas à gauche il y avait la petite carte mémoire avec les jeux NES dedans. J'imagine que c'était la ville de ma petite soeur, ou une copie qu'un ami a oublié chez moi, alors je le mis avec un sourire, plus par nostalgie qu'autre chose.
On pouvait remarquer rapidement que quelque chose clochait, encore plus quand on grandit et qu'on a la chose en question. Les divergences sont amplifiées, et tout de suite en l'entendant, je sentais que la musique n'allait pas. Je ne sais pas quoi- mais un truc n'allait pas. Au tout début à l'écran titre, la musique commence avec les rythmiques, puis vient le piano.
Il n'y eut pas de rythmique, ça arriva direct au piano, et après quelques secondes, la batterie arriva...mais décalée. Un petit peu, assez pour que je m'en rende compte et en sursaute un peu, comme si quelqu'un avait décalé le rythme et changé la tonalité du piano. Le logo arriva normalement, mais le copyright et le 2001, 2002 Nintendo avaient disparu, laissant place à un 8 mis sur le coté, comme le symbole infini.
A ce moment, je pensais que ce n'était que des glitchs mineurs - les graphismes étaient bons, et le reste était normal, alors j'appuyai sur start.
Normalement il y a cette scène de chargement où l'on parle à un des habitants du village pour sélectionner un fichier. Il y en eut un, mais étrange : ce n'est pas un perso que je connaissais., C'était un chien avec la même silhouette que Kéké Laglisse, mais il était tout noir et avait des yeux jaunes brillants. Dans le label du nom, il n'y avait pas de nom. C'était une version altérée de Ramsès, le chien-momie qu'on voit dans les versions DS et Wii.
Autre chose bizarre : le langage. Au lieu du petit blabla bizarre mais mignon qu'on entend, c'était plus bas et prononcé, ça ressemblait pas à rien : on aurait dit un langage étranger authentique, et le ton de la voix rendait la chose plus sinistre et intense, bien plus que ce que le jeu peut paraître. Le dialogue était normal, Mais quand on commence une nouvelle ville, Kéké Laglisse est supposé présenter le jeu.
Evidemment, ce n'était pas le cas, Et ce Lucky bizarre arriva au discours normal de Kéké, jusqu'au bout. Il disait que la vie en soi est solitaire, mais avec des amis, ça peut être plus amusant, surtout si on est avec quelqu'un...POUR TOUJOURS. Je ne sais pas si vous avez déjà fait reset en pleine partie, mais quand Resetti, cette purée de taupe, vous gronde pour avoir fait reset, la police de caractère prend une grosse taille. le "pour toujours" était aussi gros à ce moment.
J'essayai de joindre les pièces dans ma tête. J'étais pas très content de cette version du jeu, je l'avoue. Mais avant que je puisse m'en remettre, la scène du train arriva.
Je ne vais pas dire que j'étais effrayé comme tout, mais JE VIVAIS dans une vraie creepy pasta ! Je veux dire, quoi, ce genre de truc n'arrive qu'une fois ! J'ai pensé, “Quel mal un jeu peut-il faire ? C'est Animal Crossing.” Je me sentais vraiment comme un attardé. La scène du train commençait déjà. Charlie arriva normalement, pour me demander la date, je la confirmai, il me remercia, ria de sa blague, et le reste du speech se déroula comme dans mes souvenirs. ça semblait normal, et je me sentis un peu mieux.
Jusqu'à ce que je remarquai la femme sanglier, Joan, qui vend les navets le samedi.
Si vous êtes attentifs dans Animal Crossing sur Gamecube, vous remarquerez qu'elle est assise derrière vous dans le train, ronflant, et de temps en temps se réveillant et regardant autour d'elle...Et bien, d'abord, Joan avait des grosses poches sous les yeux, et ils semblaient plus fuyants, comme si elle était fatiguée. Et quand elle ouvrait les yeux...ils saignaient. Le sang, et ses iris, étaient hyper réalistiques: comme si on avait filmé quelqu'un avec des yeux ensanglantés et avait collé ça sur la texture. J'ai hurlé et j'ai failli échapper la manette : le jeu continua.
Charlie me demanda mon nom. Je n'ai rien tapé de précis, mais...quelque chose lui dit que mon nom était Lucky. Le clavier du jeu bougeai tout seul, et le bruit de sélection d'une lettre faisait un espèce de couinement à haut volume, comme un cochon égorgé. Normalement, il rit quand il voit le nom...mais il resta silencieux. Il me regarda, inexpressif. Il me demanda alors si j'aimais mon nom. Le curseur bougea tout seul sur “C'est cool, non?”
Il n'y eut pas de texte ensuite. Charlie me regardait. Je ne pouvais pas bouger : la musique en arrière plan, qui était normale jusqu'à maintenant, commença à faire des "hummmm" et des bruits étranges de plus en plus fort. J'étais figé : je ne pouvais pas regarder ailleurs alors que Charlie cligna. Quand ses yeux s'ouvrirent, ils étaient comme ceux de Joan’s, mais plus gros, et on voyait bien le sang couler le long de la tête jusqu'à la bouche. La musique allait à un point où il fallait que je me couvre les oreilles jusqu'à la fin.
Tout s'arrêta d'un coup : plus de musique, plus de sifflement de train. rien. Charlie continuait à saigner en silence, regardant fixement en saignant. Le sang commençait à s'accumuler sur ses jambes, et se répandait au sol goutte à goutte. On pouvait l'entendre durant tout ce temps, même par dessus la musique. Plic. Plic. Plic.
Puis les hurlements commencèrent. Je n'ai jamais rien entendu de tel : long, hideusement faits et qui remplissaient mon crane, limite faisant une boucherie en dedans. Charlie commença à fondre devant moi : Sa bouche rentrait dans son visage, ses oreilles dans sa tête, et ses yeux dans tout et couvraient tout de sang alors que les hurlements allaient plus forts et les symboles infini, en résolution très basse, flashaient sur l'écran à différents endroits, puis, aussi vite que cela commença, l'horreur s'arrêta. Ecran noir. Plus rien d’autre.
Je me forçai à me lever, et je crois que j'ai vomi aussi. J'ai pris tout ce qui me restait de force pour m'approcher de la Wii et l'éteindre. Je restai allongé par terre pendant 15 minutes.
Avant d'éteindre, j'ai vu quelque chose. ça avait des yeux, et ces yeux m'attendaient aux pieds du lit cette nuit-là. ça m'a réveillé, ils étaient blottis là. Je pouvais le voir du coin de l'oeil. Il attend que je le fasse.
Ceci était ma lettre de suicide.
Au revoir.
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Vous avez fini de lire jusqu'a bout ou vous avez regardez direct' la fin pour connaitre la fin ? é_è
J'ai bien aimez , mais la fin est... Cliché ? Ouais , cliché. ^^
votre commentaire -
Par Tetora le 16 Janvier 2015 à 11:33
J'ai toujours beaucoup aimer la culture du japon , comme vous pouvez le voir avec le nouveau design !
Le japon , on vois toujours sa comme un magnifique pays , -quoi que "légèrement" polué- , les mangas , les cerisier en fleur...
Mais il y a aussi un coté plus sombre. Avez vous déja entendu parler des Yurei ou des Yokai ? Non ?Une petite explications !
Les "Yurei" sont en fait des sortes de fantomes. La plupart du temp , dans les films d'horreur par exemple , on les décrit comme des esprit (comprenez par la fantomes) ayant de long cheveux noir , leur couvrant le visage , généralement habillés en blanc. (Coucou les films d'horreurs)
Ce serait des personnes mortes trop tot , comme assasiné ou qui se seraient suicidé.
Les "Yokai" son des esprits (mais dans un autre sens) parfois décrit comme des monstres , il est difficile de les décrire , car il n'on pas d'apparence prédéfinie.Alors... Et si on parlait des légendes d'horreur du japon ? Beaucoup d'entre-elles ont inspiré des films d'horreur ou des creepypastas.
(Toute ces histoire son copiée/collée d'Ici )Kashima Reiko est le fantôme d'une femme qui vivait dans la ville d'Hokkaido, au Japon. Une nuit, elle a été attaquée par un groupe d'hommes . Ils l'ont salement battue et ont abusé d'elle , puis l'ont laissée pour morte .Elle a essayé d'appeler à l'aide mais personne ne l'entendit . Elle a essayé de trouver quelqu'un pour l'aider , mais elle a rampé vers une voie ferrée et s'est effondré, inconsciente . Le train est arrivé et l'écrasa , la tuant sur le coup et la coupant en deux au niveau de la taille .
Depuis lors, Kashima Reiko devint un fantôme vengeur érrant à la recherche de ses jambes manquantes. Elle est principalement rencontré dans les toilettes des écoles japonaise, mais peut également apparaître dans la salle de bain de votre maison au milieu de la nuit .
Lorsque vous entrez dans la salle de bain, elle vous posera des questions . Si vous ne pouvez pas répondre à ses questions correctement, elle va vous déchirer les jambes .Si elle demande " Où sont mes jambes ? ", La réponse est "sur l'autoroute Meishin. "Elle dira " Qui vous as dis ça ? ", vous devez répondre "Kashima Reiko me l'as dit. "Parfois , elle pose une question piège, "Connaissez-vous mon nom? " Ne dites pas "Kashima" ou elle vous tuera. La bonne réponse est "démon au masque de mort" . Ka-Shi-ma étant synonyme de Ka=Kamen (masque), Shi = Shini (Mort), Ma = akuMa (Démon ) .
Il est dit qu'après avoir entendu l'histoire de Kashima Reiko, elle vous apparaitra dans un délai d'un mois...
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La Kuchisake-onna (La Femme à la Bouche Fendue) se réfère à une histoire issue de la mythologie japonaise, ainsi qu'à la version moderne de la légende urbaine d'une femme défigurée par un mari jaloux, et changée en un esprit malin avide de reproduire par vengeance, le même acte dont elle a été victime.
La légende originale comprenait une jeune femme vivant il y a une centaine d'année (certaines versions de cette légende situent l'histoire à l'ère Heian) et ayant été la femme, ou bien la concubine d'un samouraï. Elle était décrite comme étant d'une grande beauté mais aussi très vaniteuse, et probablement infidèle à son époux. Le samouraï, extrêmement jaloux et se sentant trompé et déshonoré, l'attaqua et lui fendit la bouche jusqu'aux deux oreilles, criant « Qui te trouvera belle, désormais ? ».
La légende urbaine débute à ce point, racontant qu'une femme erre la nuit (surtout pendant les après-midi de brouillard), le visage caché derrière un masque chirurgical, qui ne paraîtrait pas spécialement incongru, dans la mesure où il est de coutume au Japon de porter un masque lors de maladies, afin de ne pas infecter les autres.
Lorsqu'elle croise quelqu'un (le plus souvent des enfants et des collégiens), elle leur demande timidement, « Suis-je belle ? » (« Watashi kirei? »). Si la personne répond oui, elle enlève son masque et dit : « Même comme cela ? »Arrivée là, si la victime répond « Non », elle la tue ou bien lui fend la bouche afin qu'elle lui ressemble (dans plusieurs versions l'arme est une paire de ciseaux). Si la victime lui dit qu'elle est belle une seconde fois, elle la suit jusqu'à chez elle et la tue sur le seuil de sa porte, dû au fait que kirei, « belle » en Japonais, est un proche homophone de kire, la forme impérative de « couper ».
Dans d'autres versions du mythe, si vous lui répondez oui à nouveau, elle remet son masque et vous confie un gros rubis rouge comme le sang puis s'en va. Durant les années soixante-dix, s'est ajouté à la légende que si vous répondiez « Vous êtes ordinaire », vous seriez sauvé. Lorsque la légende a regagné en popularité autour de 2000, la réponse qui pourrait vous sauver changea en « so, so » avec la différence que la Femme à la Bouche Fendue serait contrainte de réfléchir à comment agir, et sa victime profiterait de son moment de réflexion pour s'enfuir. Une autre manière de lui échapper alors qu'elle est distraite est de lui envoyer des bonbons ou d'autres friandises, ou de simplement lui en offrir. Une autre méthode est de lui demander si nous, sommes beaux. Elle sera perturbée et partira.
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Hanako-san des toilettes:
Les origines de cette légende sont vagues, sur certains site, j’ai pu lire que la légende existerait depuis les années 50.Cette histoire est connue sous le nom de "Toire no Hanako-san" (Hanako des toilettes), et on la trouverait dans le 3eme cabinet du 3e étage des toilettes des écoles, la plupart du temps dans les toilettes des filles, mais cela dépend des écoles...
Concernant son apparence physique, là aussi tout dépend des écoles...mais elle aurait une coupe de cheveux au carré et une jupe rouge.Dans la plupart des cas, elle reste cachée dans les toilettes jusqu’à ce que quelqu’un de courageux la provoque pour la faire sortir...Pour la faire apparaitre, il faut toquer à la porte des toilettes (le 3e cabinet du 3 étage) 3 fois, en l’appellant.Pour cela, il faut lui poser une seule et simple question :(toc toc toc...) « Hanako-san es-tu là ? » (Hanako san Irasshaimasuka ?). Si elle est en effet présente, elle répondra avec une petite voix : « oui je suis là ».Il y a des histoires qui disent que certaines personnes qui ont poussé l’aventure jusqu’au bout ont ouvert la porte et ont été « accueillis » par Hanako.
D’où vient Hanako-san ? En fait, il y a plusieurs histoires à son sujet :- Durant la Seconde Guerre mondiale, une petite fille jouait à « cache cache » avec ses amis lorsque son école fut bombardée, ce qui la tua alors qu’elle etait cachée dans les toilettes.
- Hanako-san serait, selon une autre légende, le fantome d’une fille qui se serait cachée dans des toilettes en tentant d’ échapper à un agresseur (un parent qui aurait abusé d’elle), qui la tua dans des toilettes.
- Hanako-san serait l’esprit d’une fille qui se serait suicidée (ou tombée de la fenêtre de la librairie d’une école, selon la préfecture de Fukushima).
Selon la préfecture de Yamagata, quelque chose de terrible pourrait vous arriver si elle venait à vous parler avec une voix inquiétante ou mauvaise. Dans d’autres endroits de la préfecture de Yamagata, on dit que Hanako-san serait un lézard à 3 têtes de 3 mètres de hauteur qui utilise une voix de petite fille pour attirer ses victimes.Dans une école de la ville de Kurosawajiri (préfecture d’Iwate), il est dit qu’une large main blanche sortirait d’un trou sur le sol du 3e toilette si vous dites « troisieme Hanako-san » (Sanban me no Hanako-san).
Dans la plupart des cas, Hanako-san serait sans bras, et pour l’ éviter il faudrait rester éloigné d’elle. Pour vraiment se débarrasser d’elle, il suffirait simplement de lui montrer une copie d’un examen montrant une note parfaite.Certaines légendes disent que la simple vue de très bonnes notes la ferait disparaitre.-
Selon la légende urbaine japonaise , Satoru-kun est un esprit , un fantôme ou un démon qui apparaît sous la forme d'un jeune garçon. Il sait tout sur le passé, le présent et l'avenir et peut répondre à toute question qui lui est posée. Il vous suffit d'effectuer un rituel pour l'invoquer.Toutefois, en communiquant avec Satoru-kun, vous jouez un jeu dangereux. Pour invoquer Satoru-kun, vous avez besoin d'un téléphone portable, quelques pièces de monnaie et une cabine téléphonique.
Etape 1: Insérez l'argent dans la cabine téléphonique. Composez votre propre numéro de téléphone mobile.
Étape 2: Répétez le chant suivant: "Satoru-kun, Satoru-kun, s'il vous plaît venez ici. Satoru, Satoru, s'il vous plaît montrez vous. Satoru, Satoru, s'il vous plaît répondez-moi si vous êtes là-bas. "
Étape 3: Après cela, raccrochez le téléphone public et éteignez votre téléphone mobile.Si vous avez tout fait correctement, vous recevrez un appel téléphonique de Satoru-kun dans les 24 heures.
Quand il appelle la première fois, Satoru-kun va vous dire où il est. Puis il raccroche. Il vous appellera à plusieurs reprises et à chaque fois, il sera de plus proche en plus proche de là où vous êtes. La dernière fois qu'il appelle, il dira: «Je suis juste derrière toi." C'est le moment de poser votre question rapidement
Règle 1: Ne pas se retourner ou de tenter de le regarder.
Règle 2: Ne le touchez pas.
Règle 3: Ne l'appellez pas si vous n'avez pas de question à poser.
Règle 4: Quand il est derrière vous, ne tardez pas. Posez la question immédiatement.
Si vous cassez une de ces règles, vous mourrez et Satoru-kun vous emportera en Enfer.
Donc, il vaut mieux réfléchir à une question à l'avance.-
Aokigahara Jukai, ou mer d'arbres, est une forêt qui repose au pied du Mont Fuji et regorge de légendes. Situé dans la préfecture de Yamanashi, le Mont Fuji est le plus haut volcan du Japon (3776 m). Il est aussi réputé pour ses flancs de lacs et de forêts. Localisée sur le versant nord-ouest de la montagne, Aokigahara Jukai en est l’une d’elles, née d’un torrent de lave lors de l’éruption de 864.
En dépit de sa jeune histoire (1 200 ans d’existence) et de sa surface (3 000 hectares), cette forêt profonde est devenue célèbre grâce (ou à cause ?) de ses légendes et des phénomènes mystérieux qui s’y déroulent.3 000 hectares est une surface qui, normalement, peut être parcourue d’un bout à l’autre en marchant trois ou quatre heures. Et pourtant, dans cette étrange forêt, la tâche est impossible ! La légende dit que ceux qui se sont engagés dans cette mer végétale n’en sont jamais revenu. Aujourd’hui encore, beaucoup de randonneurs perdent leur chemin. Leurs squelettes, ou leurs corps à moitiés dévorés par « quelque chose », sont régulièrement retrouvés dans cette forêt profonde et obscure. Aussi, ceux qui partent à la recherche de ses corps disparus ou pour élucider le mystère de ce lieu se perdent à leur tour. Une vieille légende dit aussi qu’un grand nombre de chauve-souris vivent ici. Elles attaquent les promeneurs et tentent de les étouffer en leur couvrant le visage.
Dans cette forêt, votre boussole perd le nord en vous indiquant le sud ou bien avec un écart de 90 degrés par rapport au nord. D’autres affirment que si vous suivez les indications de votre boussole, vous tournez en rond revenant ainsi à votre point de départ. Des dysfonctionnements provenant des outils de mesure digitaux ont aussi été remarqués.Aokigahara est si dense que la lumière du soleil y pénètre très difficilement. Nombreux sont ceux qui affirment qu’il vous est impossible de vous diriger avec le soleil, car si vous levez la tête, vous ne voyez qu’une petite parcelle du ciel. A cause de la densité du feuillage, les GPS ne fonctionnent pas, bien que quelques personnes aient prouvé le contraire avec un GPS de meilleure qualité.Étant très similaire, le paysage crée, dans votre esprit, une distorsion du sens de l’orientation. De ce fait, les différentes directions qui s’offrent à vous se ressemblent toutes. Si vous regardez devant vous pour marcher droit, vous risquez fortement de glisser et de chuter : le sol paraît solide alors qu’en vérité, il se trouve souvent à 30 ou 40 cm plus bas, sous un tapis de racines et de feuilles, lesquelles créent une toile donnant l’illusion d’un terrain parfaitement plat. Aussi, cette forêt possède de nombreuses cavités énormes et profondes, formées par la nature même de sa base qui n’est que lave. Ces crevasses ouvrent largement leurs gueules sous la mousse et la végétation. Il est très facile de chuter à l’intérieur et de vous retrouver avec horreur, face à des squelettes qui moisissent là depuis fort longtemps.
Aucune issue, ni aucun sauvetage n’est possible si vous êtes seul. Notons que d’étranges cavernes se terrent dans le sol de cette forêt. Plus étonnant, elles sont prisonnières des glaces y compris l’été.D’autres, prisonniers de cet "enfer vert", ont marché pendant des jours, croisant ici et là quelques squelettes et cadavres en décomposition, et sont morts affamés avant de servir de repas aux animaux sauvages. Tous ces phénomènes ainsi que d’autres faits divers ont créé toutes sortes de légendes à propos de monstres, de gobelins et de fantômes qui hantent cette forêt.
En 1959, l’écrivain japonais Seicho Matsumoto a écrit une nouvelle à propos de cette "magnifique forêt abandonnée et sauvage", en affirmant qu’elle est l’endroit idéal pour mourir en secret et sans que l’on puisse retrouver votre corps. Cette nouvelle du nom de Kuroi Jukai (forêt noire) fut publiée dans un magazine. La nouvelle se termine avec le suicide des amants dans cette sombre forêt. Après la publication de cette nouvelle, l’endroit est devenu le lieu le plus réputé pour se suicider. Régulièrement, les corps sans vie de lecteurs suicidaires sont retrouvés là.
En 1993, un autre écrivain japonais du nom de Wataru Tsutsumi a publié un livre éloquent : Le guide complet du suicide. Ce livre décrit les différentes façons de se suicider ainsi que les risques liés à chaque méthode. Dans cet ouvrage, il recommande de se pendre par la corde. Il indique quelques endroits bien précis de cette forêt maudite. Selon lui, ce sont les meilleurs endroits pour éviter que l’on retrouve les corps, et ainsi conclure à une mystérieuse disparition. Après la publication de l’ouvrage, le taux de suicide augmenta fortement au Japon et beaucoup de ceux qui réussirent leur ultime voyage furent précisément retrouvés dans cette forêt aux endroits indiqués, avec à leurs pieds, l’ouvrage de Wataru Tsutsumi. Quelques-uns s’étaient pendus en position assise alors que d’autres étaient allongés ! Il y a quelques années, la photo d’un pendu fut publiée dans un journal. Il n’avait plus de jambes. Celles-ci furent, semble-t-il, dévorées par des animaux sauvages.
À cause d’un taux d’humidité élevé ainsi qu’à sa nombreuse population d’oiseaux et d’animaux sauvages, les corps pourrissent très rapidement au cœur de ce labyrinthe végétal. Un rapport fait mention d’une femme retrouvée trois jours après sa mort. Son corps dévoré par les fourmis et différents rongeurs fut totalement méconnaissable. Beaucoup de personnes venant camper ici et faisant face à d’effroyables scènes mettent ces terribles images sur internet, pour informer la population de la réalité de ces faits et ainsi dissuader les futurs candidats au suicide.
Quoi qu’il en soit, il y a aujourd’hui des randonnées organisées dans cette sinistre forêt permettant d’apprécier la nature sauvage. Les gens apprécient l’atmosphère mystérieuse de ce site et la beauté de la nature. Cependant, de nombreux panneaux signalétiques cloués sur les arbres par les autorités, portent d’étonnant messages tel que : "S’il vous plaît, contactez la police avant de décider de mourir. S’il vous plait, reconsidérez votre geste". De plus, ces panneaux vous avertissent de ne jamais sortir des chemins balisés, même sur une courte distance. Car vous pourriez chuter dans une crevasse, ou bien vous pourriez tomber nez-à-nez avec un squelette ou un cadavre fraîchement mort. Enfin, il vous sera extrêmement difficile de revenir sur vos pas.
De nombreuses personnes commettent l’acte fatal à quelques mètres des chemins de randonnées. Pourquoi ? Par le fait qu’il est difficile de pénétrer en profondeur dans cette forêt. A certains endroits, une heure est nécessaire pour faire 300 mètres ! La végétation est tellement dense et épaisse qu’il suffit de s’enfoncer de quelques kilomètres pour prendre conscience qu’aucun son ne peut être entendu, exceptés les bruits de la forêt et le chant du vent…
Des sources affirment qu’il ne se passe rien de mystérieux dans cet enfer végétal et que les instruments de mesure (boussole, GPS…) fonctionnent parfaitement. Mais en vérité, beaucoup disent que ce discours des autorités n’est qu’une campagne de désinformation ayant pour but d’éloigner les curieux et de faire baisser le taux de suicide.Malheureusement, le nombre de suicides en ce lieu damné semble augmenter d’année en année. En moyenne, entre 30 et 50 cadavres sont retrouvés chaque année. Certaines années, le score est malheureusement plus élevé. Voici quelques chiffres :
1998 : Découverte de 73 cadavres
1999 : 68
2000 : 59
2001 : 59
2002 : 78
2003 : 105Certains de ces corps ont pour origine le suicide alors que d’autres sont simplement des égarés. Il y a des groupes de personnes qui nettoient régulièrement la forêt de ses squelettes et de ses cadavres. Pour ne pas se perdre, ces groupes spécialisés utilisent des rubans plastiques. Ces rubans sont déposés sur les chemins qu’ils empruntent, leur permettant, à la manière du Petit Poucet, de revenir à leur point de départ. Ces rubans sont ensuite laissés en place. Beaucoup de personnes ont réussi à sortir de ce labyrinthe et ont eu la vie sauve grâce à ces rubans. Si vous empruntez la nationale N139 qui longe la funeste forêt, vous pourrez noter la présence de nombreux rubans indiquant qu’un corps fut retrouvé là.
Aux abords de la forêt, se trouve un camp d’entraînement militaire. Certains de ses militaires conseillent de ne pas regarder la forêt durant les entraînements car elle semble vous attirer inexorablement entre ses griffes.De nombreuses histoires font aussi mention de personnes qui furent témoins d’effroyables apparitions fantomatiques. Sans doute les esprits des suicidés qui seraient condamnés à hanter la sinistre forêt pour l’éternité. Aokigahara est considéré comme le site le plus hanté du Japon. On dit de ce lieu qu’il est le purgatoire pour les Yurei, des fantômes vengeurs qui ont été arrachés à la vie trop tôt par une mort violente tels que le suicide ou le meurtre. Ils hurlent leur souffrance à travers le vent. Les spiritualistes affirment que les arbres eux-mêmes sont imprégnés d’une énergie malveillante accumulés depuis des siècles. Cette énergie provient naturellement de tous ces malheureux qui se sont donné la mort. Ils feront tout pour vous attirer car ils ne veulent pas que vous repartiez de ce lieu maudit.Malgré tout, des gardes forestiers y travaillent. Parfois, ils tombent sur des cadavres en état de décomposition, pendus ou partiellement dévorés par les animaux. Dans ce cas, les hommes sont dans l’obligation de les ramener au grand refuge d'Aokigahara. Les cadavres sont entreposés dans une pièce spéciale réservée à cet usage. Dans cette petite pièce, il y a deux lits : un lit pour le cadavre et un autre pour le garde forestier. Cela peut vous surprendre, mais il est dit que si le cadavre est laissé seul dans la pièce, l’effroyable Yurei qui l’habite criera toute la nuit et se déplacera dans les dortoirs du centre par l’intermédiaire du corps sans vie. Pour désigner quel garde forestier veillera sur le corps et dormira dans la pièce mortuaire, un tirage au sort est effectué.
En 2004, le réalisateur japonais Takimoto Tomoyuki réalise Ki No Umi (Mer d’arbres), dont la forêt maudite est justement le sujet (titre anglais : Jyukai, The Sea of Trees Behind Mont Fuji). L’histoire raconte le destin de quatre personnes qui décident de se suicider à Aokigahara. Durant les repérages du film, Takimoto raconta aux journalistes qu’il trouva un portefeuille contenant 370 000 yen (environ 2 300 euros) laissant ainsi supposer qu'Aokigahara est un terrain propice pour la chasse aux trésors. D’autres ont affirmé avoir trouvé des cartes de crédit et des permis de conduire.
Pourquoi les candidats au suicide sont-ils plus nombreux dans cette forêt chaque jour ? Pourquoi attire-t-elle autant de curieux ? Que ce passe-t-il réellement au cœur de ce labyrinthe végétal ? Quel est le mystère qui repose au cœur de cet océan de verdure ? Enfin, pourquoi Aokigahara fascine-t-elle toujours autant ?
Personne n’en est encore revenu pour le dire…-
Aka Manto...
C'est très simple, il s'agit d'un fantome à la longue cape rouge au visage caché par un masque d'or. Il serait apparemment très grand et mesurerait dans les deux mètres. Une variante de l'histoire tant à supposer que ça ne serait non pas une cape rouge mais un manteau rouge. Voici une reconstitution de ce à quoi ressemblerait le protagoniste de ce récit http://www.dark-stories.com/images/insolite/aka-manto.jpg
La légende veut qu'il serait autrefois un très bel homme, mais un beau jour, il tomba fou amoureux d'une charmante jeune fille. Il l'enleva pour lui déclarer sa flamme, mais cette dernière refusa alors ses avances. Depuis, les deux jeunes gens disparurent inquiétant ainsi le village.Plusieurs années plus tard, la légende voudrait que ce jeune homme mort depuis, serait revenu hanter les rues et les derniers cabinets des toilettes pour filles. Apparemment, si une fille se rend aux derniers cabinets et y reste pendant un certain temps, il apparaîtrait dans le dos de cette dernière et lui posera alors une question: "Que préférez vous ? Une cape rouge ou une cape bleue ?" Si la demoiselle répond rouge, ce dernier lui tranche la gorge pour recouvrir ses vêtements de sang, mais si son interlocutrice répond bleue, il l'étrangle jusqu'à ce que son visage devienne bleu. Il serait alors tentant de répondre une autre couleur, mais si une maline répond une autre couleur, des bras blancs sortent du sol et précipitent la pauvre innocente dans les abysses des enfers. Cependant, si vous répondez, aucune, vous serez également envoyez aux enfers. Certaines variantes prétendent que lorsque la femme se retourne et qu'elle croise le regard du fantôme, alors qu'elle tombe nez à nez avec le masque d'or, sa longue cape l'entoure, l'empêchant de fuir. Aka Manto serait le seul fantome face à qui on ne peut s'enfuir.
Une histoire simple n'est ce pas, mais apparemment un fait divers au Japon a remis l'histoire au gout du jour. Une jeune fille dans un lycée étant allé aux toilettes a alors entendu la voix glaciale mais amusée d'un homme lui demander: "Allons-nous mettre une veste rouge ?" Prise de panique, la jeune fille s'enfuit des toilettes et s'en alla prévenir un professeur qui appela la police craignant à une tentative d'agression d'un maniaque. Bien qu'hésitant au téléphone craignant une intervention inutile, la police accepta tout de même d'intervenir à l'école. Une fois à l'intérieur, la policière inspecta les toilettes alors que son collègue masculin restait en arrière. Elle serait rentrée dans un cabinet et aurait alors demandé: "Vous êtes là monsieur?" Quelques secondes plus tard, une voix roque selon le policier aurait résonné depuis le cabinet demandant avec un air amusé mais distinct:" Allons-nous mettre une veste rouge ?" Sûre d'elle, la policière demanda: "Ok, mettez la !" Soudain, un cri atroce se fit entendre suivi d'un bruit sourd. Le policier se précipita donc arme à la main dans le cabinet. Au moment d'ouvrir la porte, il remarqua la tête coupée de sa collègue, ainsi que sa dépouille couverte de sang et les vêtements abîmés, comme griffés. Personne n'a trouvé de réponse rationnelle à cette histoire.
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Le poème maudit de Tomino...
Tomino no Jigoku (Tomino's Hell)
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Saijo Yaso
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ane wa chi wo haku, imoto wa hihaku,His older sister vomited blood, his younger sister vomited fire,
kawaii tomino wa tama wo haku
And the cute Tomino vomited glass beads.
hitori jihoku ni ochiyuku tomino,Tomino fell into Hell alone,
jigoku kurayami hana mo naki.
Hell is wrapped in darkness and even the flowers don't bloom.
muchi de tataku wa tomino no aneka,
Is the person with the whip Tomino's older sister,
muchi no shubusa ga ki ni kakaru.
I wonder who the whip's shubusa(?) is.
tatake yatataki yare tataka zutotemo,Hit, hit, without hitting,
mugen jigoku wa hitotsu michi.
Familiar Hell's one road.
kurai jigoku e anai wo tanomu,
Would you lead him to the dark Hell,
kane no hitsu ni, uguisu ni.
To the sheep of gold, to the bush warbler.
kawa no fukuro ni yaikura hodoireyo,
I wonder how much he put into the leather pocket,
mugen jigoku no tabishitaku.
For the preparation of the journey in the familiar Hell.
haru ga kitesoru hayashi ni tani ni,
Spring is coming even in the forest and the stream,
kurai jigoku tanina namagari.Even in the stream of the dark Hell.
kagoni yauguisu, kuruma ni yahitsuji,
The bush warbler in the birdcage, the sheep in the wagon,
kawaii tomino no me niya namida.
Tears in the eyes of cute Tomino.
nakeyo, uguisu, hayashi no ame ni
Cry, bush warbler, toward the raining forest
imouto koishi to koe ga giri.
He shouts that he misses his little sister.
nakeba kodama ga jigoku ni hibiki,
The crying echo reverberates throughout Hell,
kitsunebotan no hana ga saku.
The fox penoy blooms.
jigoku nanayama nanatani meguru,
Circling around Hell's seven mountains and seven streams,
kawaii tomino no hitoritabi.
The lonely journey of cute Tomino.
jigoku gozarabamo de kitetamore,If they're in Hell bring them to me,
hari no oyama no tomebari wo.The needle of the graves.
akai tomehari date niwa sasanu,I won't pierce with the red needle,
kawaii tomino no mejirushini.In the milestones of little Tomino.
(Traduit en japonais en lettres connues et en anglais.
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...
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Vous n'avez pas lu a voix haute , j'èspère ?...)Il en éxiste énormément d'autres , mais ceux-ci son très connue !
A bientot !
1 commentaire -
Par Tetora le 5 Janvier 2015 à 15:43
Bon , avant de commencer ma petite "pub" pour le blog (Référencement , en parler et tout sa...) je me permet de vous faire découvrir (ou pas) les Creepypasta... ^^ Vous n'en avez peut etre jamais entendu parler , car après tout , nous ne sommes pas tous des psychopathe qui aime le saaaaang /PAN/ - w -
Alors je me permet de copier/coller une définition rapide :
"Les Creepypastas sont des courtes histoires d'horreur et/ou d'épouvante qui sont régulièrement copiées sur des forums ou des imageboards et postées sur des blogs, des forums, des imageboards, par mail... dans le but d'effrayer, de déranger...ou d'amuser son lecteur. Beaucoup de ces histoires sont basées sur des légendes urbaines et sont même parfois considérées comme telles. "
Vous l'aurez compris , il s'agit tout simplement d'histoire d'horreur. Mais pourquoi ce nom "Creepypasta" ?
(Merci , Copier/Coller !)
"Le mot Creepypasta est un dérivé du mot "Copypasta" qui est un argot anglais pour désigner le copier/coller. "Pasta" est un mot italien qui désigne les pâtes comme les spaghettis, les tagliatelles, etc ; et le mot lui-même a des similitudes avec le verbe "coller" en anglais (paste). Enfin, "Creepy" veut dire morbide, glauque, dérangeant..."
Sachez qu'éffectivement , il ne s'agit que d'histoire... Quoi que ?... Le but est justement d'avoir ce doute , alors rien n'est jamais dit noir sur blanc , ce qui fait que notre imagination prend le dessus ! ;)
Chose qui n'aide pas non plus , au départ les Creepypastas n'était que des textes , mais maintenant il y a des images et des vidéos qui les accompagnent , il arrive meme que la musique d'ambiance soit présente... Angoissant , n'ai ce pas ? ;)
Vous pouvez en trouvez partout sur le net , mais voici un très bon site :
http://creepypastafromthecrypt.blogspot.fr/2012/11/dont-play-with-your-life.html
Vous pourrez lire une Creepypasta en cliquant sur le lien , mais il y en a énormément d'autre sur ce site , prenez le temp d'en lire quelques-une !
Avant de terminer cet articles (On en reparlera vite , je pourrait vous partagez quelques Creepypasta. ;D ) je tien a précisé Que si vous tomber sur une image ou vidéo vous ayant choqué , je n'y suis pour rien ! Vous avez été prévenu. Ame sensible , s'abstenir , certains textes pourraient eux-meme choqué.
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